Haoua, Vendeuse De Galettes. Deuxième Partie : Comment JAi Épousé Haoua
Haoua, vendeuse de galettes.
Deuxième partie : Comment jai épousé Haoua
La première nuit que nous passâmes ensemble Haoua et moi fut plutôt calme. En dehors du dépucelage de ma belle et des gestes tendres qui sensuivirent, nous ne fîmes rien dautre que dormir. Pendant toute la nuit elle resta blottie contre moi, comme si elle avait peur que je ne veuille plus delle et que je men aille. Je restai longtemps éveillé en réfléchissant à la meilleure solution possible: celle qui ménage le désir de Haoua de rester avec moi et de se sentir protégée contre les aléas de la vie et mon désir à moi déviter le scandale dans le bâtiment où les voisins verraient dun mauvais il la présence dune femme qui ne serrait pas légalement la mienne
et où javais mes habitudes de célibataire !
Parmi ces habitudes, il y avait Attika, ma merveilleuse Attika, une belle voisine mariée avec deux s, qui vivait deux étages plus hauts et qui, quand son mari sabsentait (ce qui arrivait souvent) venait me rendre visite tôt le matin. Et là, nous étions dans la semaine où son époux était en mission au sud et au cours de laquelle elle venait me réveiller tous les jours, pour moffrir des instants très forts de plaisir. Nous étions heureux ensemble et passions de merveilleux moments à faire lamour sans tabous. Attika nétait pas du genre jalouse. Elle comprenait très bien quun homme comme moi avait besoin de se sentir aimé par plusieurs femmes en même temps. Dailleurs elle mavait longtemps partagé avec sa voisine et amie - et son autre grand amour - Chérifa, sans que cela ne lui pose aucun problème. Je navais donc pas peur quelle prenne mal la présence à la maison de Haoua. Il suffisait que je lui explique et, très certainement, elle acceptera sa présence, sans en faire un drame.
Je ne savais pas, par contre, si Haoua en fera de même. Mais cela était une autre affaire. En réfléchissant toute la nuit, je me suis mis à échafauder un plan nous permettant de sortir de limpasse dans laquelle nous nous trouvions, Haoua et moi.
Ce fut le coup de sonnette de Attika qui me réveilla. Haoua était déjà levée et soccupait de préparer le petit déjeuner. Elle vint se cacher dans la chambre, craignant je ne sais trop quoi. Je la rassurai en lui disant que cétait une gentille voisine à qui jallais la confier pour lhabiller et lui donner une apparence de vraie dame.
- Cest ta femme ? Tu fais lamour avec elle ? Tu laimes ?
- Oui cest ma maîtresse ! Mais une maîtresse très sympathique et pas jalouse.
Jallais ouvrir la porte et trouvai Attika qui simpatientait et qui était toute étonnée que je tarde autant à la faire entrer. Elle craignait quune voisine puisse la voir frappant à ma porte et en tirer les conclusions qui simposent.
- Bonjour mon chéri ! fit-elle. Que se passe-t-il ? Jai failli men aller, croyant que tu étais déjà sorti !
- Bonjour Attika ! Il ne se passe rien ! Je ne suis pas seul, cest tout ! Viens avec moi dans la chambre, je vais te présenter quelquun que tu devras prendre en charge.
Docile, comme à son habitude, et certainement heureuse davoir à me rendre service, comme le bon samaritain quelle avait toujours été, elle maccompagna dans la chambre et découvrit Haoua, blottie dans un coin du lit, comme un animal apeuré, les yeux baissés et légèrement tremblante.
- Je te présente Haoua ! Ma femme !
Et Haoua et Attika sursautèrent détonnement à ce que je venais de dire. Je mempressai de corriger, et pour lune et pour lautre, en disant quil ne sagissait pas de mon épouse mais seulement de ma femme (Comprenne qui pourra !) Attika menvoya un sourire qui signifiait quelle avait parfaitement compris la situation, et sapprocha de Haoua, quelle embrassa tendrement sur les deux joues.
- Bonjour Haoua ! Je mappelle Attika, une voisine et une très proche amie de Ali. Tu nas absolument rien à craindre de moi; sil faut que je disparaisse, je disparaîtrais. Ali mest très cher; il ma donné énormément de bonheur et de plaisir. Mais je sais quun jour ou lautre cela devra sarrêter. Et je pense que ce jour là est arrivé.
- Non lui dis-je ! Le moment nest pas encore arrivé. Haoua a autant besoin de toi que de moi. Nous avons besoin avant tout que tu toccupes de la rendre présentable. Je vais te laisser un peu dargent pour lui acheter des vêtements convenables et toccuper de ses cheveux et de son visage. Je ne veux pas quelle coupe ses cheveux ! Je vais vous laisser seules, jai un travail urgent à terminer et à remettre ce matin. Haoua te racontera son histoire pour que tu comprennes ce qui se passe.
Je partis, après avoir donné quelques billets à Attika. Elle maccompagna jusquà la porte, membrassa tendrement et me demanda, avec une voix angoissée dentendre une mauvaise réponse :
- Cest fini entre nous ? Nous ne ferons plus lamour ensemble ?
- Non ce nest pas fini ! Nous avons eu trop de bons moments ensemble pour que cela sarrête subitement là ! Laisse-moi seulement le temps de trouver une solution à lhébergement de Haoua ! Et nous reprendrons nos relations exactement comme avant !
Rassurée par mes paroles, elle eut un sourire heureux sur les lèvres et membrassa tendrement. Je partis au travail. Et pendant toute la journée je pensais à ce que je devais faire pour régler le problème dhébergement de Haoua.
Je lappelai au téléphone en lui expliquant la situation et en lui demandant, comme un service, daccueillir pour quelques temps Haoua. Elle avait été immédiatement touchée par les malheurs de la jeune femme et quand je lui ai avoué ma crainte de la voir mettre fin à ses jours, parce quelle pensera quelle est de trop dans ma vie.
- Si cest une menteuse qui veut te piéger, je le saurais assez vite et je moccuperais de lui faire regretter son comportement avec toi. Si cest la vérité, la petite mérite dêtre aidée. Ramène-la-moi, dans deux jours. Aujourdhui, je vais au bled, avec Nacéra ta sur, pour une visite familiale. Nous y passerons cette nuit et celle de demain.
Je savais bien que je pouvais compter sur maman ! Elle avait toujours été là quand javais besoin delle. Et ce nest pas aujourdhui quelle me lâchera. Je rentrai assez tôt à la maison, après avoir fait quelques courses. Je trouvais Haoua, complètement changée. Le diamant brut que javais confié à Attika le matin sétait transformé en une magnifique pierre précieuse, finement ciselée. Elle navait gardé de son ancienne apparence que la longue chevelure, que je lui avais interdit de couper. Mais même cette longue chevelure était différente de ce quelle était ce matin encore: elle avait été traitée et coiffée de manière à ce quelle tombe en vagues ondulantes sur ses épaules et son dos.
Elle portait une très légère robe dintérieur bleu-marine (une djebba) en coton qui mettait en valeur sa grande taille, la minceur de son corps et la sensualité de ses rondeurs. Je reconnaissais bien là le travail dexperte de Attika.
- Comment tu me trouves ? questionna-t-elle, presque provocante. Je suis belle comme cela ! Nest-ce pas ? Attika a été très gentille. Elle ne ma quittée quà seize heures, après mavoir acheté de beaux habits et mavoir accompagnée au salon de coiffure et desthétique. (Elle parlait comme une petite fille qui venait de recevoir le cadeau quelle attendait depuis des lustres !) Elle ma obligé à sortir sans hidjab. Jétais gênée, mais jai fini par aimer montrer mes cheveux et les formes de mon corps aux hommes qui me regardaient curieusement. Tu aimes Attika, nest-ce pas ? Je ne suis pas jalouse, puisquelle est mariée ! Et elle ma affirmé quelle tient à sauvegarder sa famille !
- Oui je laime beaucoup ! Elle ma donné beaucoup de plaisir et de bonheur. Allez, viens dans mes bras et arrête de te contempler comme cela dans le miroir ! Tu es très jolie et il faut que jen profite ! Viens membrasser. Je nai pas arrêté de penser à toi et de bander comme un âne, en pensant à ton corps.
Elle accueillait mes paroles, avec un sourire resplendissant de bonheur. Comme si je lui avais avoué que je laimais ou que jétais fou delle. Elle se blottit dans mes bras et me tendit ses lèvres pour un baiser quelle voulut très tendre, mais qui dérapa très vite en baiser torride et mouillé. Nous nous embrassâmes longuement et passionnément. Je la soulevais du sol pour la porter dans la chambre. Je voulais lui faire lamour et le lui dit.
- Moi aussi, je veux faire lamour. Jai encore en mémoire tout le plaisir que tu mas donné hier. Et Attika ma raconté tout ce que vous faites ensemble. Elle ma expliqué tout ce que tu aimes faire à tes maîtresses et tout le bonheur que tu leur donnes. Elle ma parlé aussi de lautre femme, son amie Chérifa, que tu as aussi beaucoup aimée. Tu maimeras comme elles ?
- Certainement si tu te comportes comme elles !
- Tu veux menculer ?
-
(Je navais pas saisi le lien entre la boutade que je venais de lui lancer et sa question sur la sodomisation)
- Attika ma dit que tu adorais le cul des femmes ! Alors je toffre le mien ! Comme cela tu maimeras moi aussi !
Jétais sidéré par sa manière simple et directe de réfléchir, de dire les choses et dagir. Cest vrai que jaime sodomiser mes partenaires féminines. Cela fait partie de mes préférences sexuelles. Mais la manière quavait Haoua de me proposer de lenculer, rien que parce que Attika lui avait parlé du plaisir que je prenais à investir son cul et celui de Chérifa, métonnait. Métonnait et mexcitait ! Cette idée de la sodomiser ne métait pas encore venue à lesprit. Mais maintenant quelle venait de sinsinuer en moi, elle ne pouvait plus en sortir. Je mallongeai près delle et me mis à lui caresser la poitrine, par dessus le fin tissu de sa djebba. Comme elle ne portait pas de soutien gorge, mes caresses sur ses seins lexcitèrent beaucoup, au point quelle se saisit de mes mains pour les obliger à continuer à les palper doucement et à jouer avec ses tétons.
Ses yeux brillaient de plaisir ! Elle ne parlait pas, mais tout son visage parlait pour elle, disant quelle était heureuse davoir trouvé son homme et de lui plaire autant. Elle prit alors lune de mes mains pour lembrasser tendrement, sur le dos dabord (comme certaines femmes de chez nous le font pour marquer le respect et/ou la soumission) puis sur la paume. Elle ne la lâcha pas et la porta à lintérieur de ses cuisses, toujours par dessus le tissu de la robe. Elle me fit comprendre par une forte pression quelle voulait que je la caresse à cet endroit, en remontant doucement jusquà son entrecuisse. Elle me susurra à loreille :
- Je nai pas mis de culotte ! Tu veux voir ?
Sans attendre ma réponse, elle retira ma main, souleva son bassin et retira complètement sa robe, pour rester toute nue en face de moi. Elle était vraiment superbe ! Je ne sais pas si ce nétait quune vue de mon esprit, mais je la trouvais plus belle que la veille et je mettais cela sur le bonheur quelle vivait avec moi. Je crois fermement que le bonheur rendait les personnes femmes ou hommes plus belles et quau contraire le malheur, les enlaidissait.
Je me demandais ce que je voulais faire en priorité avec elle : un cunnilingus parce que sa chatte, quelle avait maintenant soigneusement épilée (merci à Attika qui lui avait appris comment faire pour quil ny ait plus aucune trace de poils et pour rendre lensemble doux et brillant !) ? La baiser par sa chatte et prendre autant de plaisir que la veille - sinon plus, parce que maintenant je navais plus à faire attention à la douleur de la défloration ? Lenculer pour lui faire connaître dautres sensations et prendre un énorme plaisir à ouvrir une nouvelle voie dans son corps ?
Joptais finalement pour la sodomisation. Je me disais en regardant ses hanches étroites et ses fesses rondes de jeune fille, ainsi que son anus sombre et serré, que japercevais maintenant distinctement parce quelle avait levé les jambes pour tout me monter en une seule fois, que jallais prendre autant de plaisir que la veille, mais cette fois-ci dans son cul. Je me demandais si jallais lenculer comme cela allongée sur le dos les jambes relevées, pliées et posées de part et dautre de sa poitrine, ou bien à quatre pattes en levrette. Je me dis quelle prendrait plus de plaisir en regardant mon manche la posséder et le voir entrer et sortir de son orifice anal. Ça devra lexciter au moins autant que moi, une fois la douleur première estompée.
- Je vais te prendre par ton anus ! Je vais certainement te faire mal, mais cela ne sera pas pire quhier, quand jai déchiré ton hymen. Tu veux ?
- Oui, je veux ! Tu peux me faire tout ce que tu veux ! Et tant pis si cela fait très mal, la première fois. Tu ne veux pas que je me mette à quatre pattes ? Non ? Je suis assez ouverte comme cela ?
Jétais presque honteux de profiter delle comme cela; de la voir aussi soumise. Cétait un peu comme lagneau qui allait à labattoir. Jétais certain quelle avait peur et quau fond delle-même, elle pensait que ce que jallais lui faire était mal. Mais mon Dieu, ce que jétais excité, rien quà lidée de posséder ce merveilleux petit cul ! Au Diable les scrupules ! Je voulais lenculer et javais même la prétention de lui faire aimer la sodomisation !
Mais même si javais une envie irrépressible de la prendre en force et de lui faire mal, je gardais la maîtrise de moi, en me disant quil me fallait la préparer pour quelle se détende et quelle ne souffre pas trop. Rien de mieux, pensai-je, que de lexciter au maximum et de lubrifier en même temps lentrée de son anus. Je plongeai ma tête entre ses cuisses pour memparer de sa chatte, que je me mis à lécher, sucer et téter. Elle eut immédiatement un petit rire, en me prenant la tête et en pressant dessus, mindiquant par là quelle aimait ce que je lui faisais. Jarrêtai de la sucer pour faire aller et venir ma langue entre ses grandes lèvres jusquà la raie de ses fesses, en déposant au passage un peu de salive sur lanneau serré de son cul.
Elle devait certainement comprendre ce que je préparais, mais elle se laissa faire sans rien dire, en poussant de petits rires nerveux parce que je lui chatouillais le cul avec ma langue. Je continuais ainsi longtemps, en léchant sa chatte, avalant tout le jus quelle produisait sous leffet de lexcitation et en mouillant le plus possible lentrée de lanus. Au moment où je constatai que lanus était assez lubrifié, je tentai dy faire pénétrer un doigt. Il eut des difficultés à entrer. Je forçai un peu pour lintroduire complètement et je me mis à le faire tourner à lintérieur pour élargir lentrée. Elle était contractée et, dévidence, elle nappréciait pas la présence de mon doigt dans son rectum. Je ne tins pas compte de ses sentiments du moment. Je continuai à élargir la voie, en ajoutant un deuxième doigt, qui eut encore plus de difficultés à pénétrer à lintérieur.
Je regardais le visage de Haoua sur lequel était posé un pauvre sourire; un sourire qui signifiait quelle était résignée à ce qui allait se passer, mais quelle ny prenait aucun plaisir. Je me dis quil était maintenant temps daccélérer le mouvement pour dépasser le stade de la résignation et passer à celui de la douleur et du plaisir. Parce que jétais sûr que je lui ferai aimer la sodomisation ! Je me positionnais entre ses cuisses, toujours levées et posées de part et dautre de sa poitrine, pris mon sexe, dur et frémissant, dans la main gauche, le posai sur lanneau et poussai lentement avec les hanches pour le faire pénétrer progressivement à lintérieur. Lanneau céda difficilement sous la poussée. Elle lança un fort cri de douleur, en me regardant avec des yeux qui se remplissaient de larmes. Je narrêtai pas pour autant la poussée. Je voulais aller jusquau fond et my arrêter un moment, pour laisser passer la douleur et lembrasser avec douceur et tendresse pour la réconforter.
- Naie pas peur, cela va très vite passer ! Juste le temps que tu thabitues à la présence de mon manche dans ton boyau ! Tu verras combien çà sera bon !
Elle ne disait rien. Elle avait toujours sur les lèvres ce petit sourire triste et deux grosses larmes séchappèrent de ses yeux. Des larmes qui indiquaient lintensité de la douleur quelle ressentait et quelle essayait courageusement de cacher. Je fis faire à mon sexe un lent aller-retour dans le boyau, mefforçant dy aller avec le plus de douceur possible. Elle grimaça de douleur, mais sans crier. Je refis un autre aller-retour qui lui fit aussi mal. Mais au fur et à mesure que jallais et venais doucement dans son boyau, la douleur devenait de moins en moins forte. Haoua ne grimaçait plus. Je me dis quil était temps maintenant de passer à létape du plaisir. Tout en continuant à aller et venir lentement, mais toujours profondément, je lui pris sa main droite et la lui fis poser sur sa chatte.
- Caresse-toi ! lui ordonnais-je. Caresse ta chatte en même temps que je te pine ! Tu verras, cela te plaira beaucoup !
Haoua me regarda avec des yeux étonnés. Comme si je lui demandais de faire quelque chose détrange. Je fis faire à sa main un mouvement de va-et-vient sur ses grades lèvres en insistant pour quelle continue seule et quelle se masturbe.
- Fais entrer un doigt à lintérieur et branle-toi ! Tu nes plus vierge, tu peux y aller profond. Vas-y, tu rencontreras mon manche ! Cela te plaira beaucoup ! Et moi aussi ! Vas-y !
Haoua hésita un moment, puis fit entrer un doigt à lintérieur de son vagin et se mit à le faire aller et venir, doucement dabord, puis de plus en plus vite, tant elle trouvait la sensation agréable. Je me dis que maintenant cétait gagné: ma mie commençait à prendre du plaisir ! Cela ne pouvait qualler crescendo ! Et effectivement, elle passa très rapidement à deux doigts. Elle relevait la tête pour regarder ce quelle faisait et aussi pour admirer mon sexe, qui maintenant allait et venait en elle sans plus prendre de précaution. Jy allais franchement en ahanant, pendant quelle faisait faire à ses deux doigts de furieux va-et-vient à lintérieur de sa chatte. Elle riait, à chaque fois que ses doigts croisaient et frottaient mon sexe. Cela lui plaisait vraiment.
- Cest vrai que cest bon ! Je vais jouir aussi fort quhier ! Jaime quand mes doigts rencontrent ton zob ! Jadore le voir entrer et sortir comme cela de mon cul ! Il me possède très fort ! Il est mon maître ! Jaime ! Jaime ! Encore plus fort ! Plus vite ! Plus vite ! Je vais jouir !
Je continuais à la pilonner en force en la regardant se masturber furieusement au même rythme que mes coups de boutoir. Jaimais vraiment ce cul étroit, chaud et humide. Je sentais ses doigts à travers les parois du rectum et du vagin qui augmentaient le plaisir que je prenais et qui nallait pas tarder à me faire jouir comme un fou. Je voyais que ma belle aussi était au bord de lorgasme. Elle nétait plus avec moi ! Elle nétait quavec son plaisir ! Même si elle avait gardé les yeux ouverts, cétait seulement pour regarder le monstre qui défonçait son cul et accroître sa perception du plaisir. Elle bavait de plaisir, sans même sen rendre compte. Ses merveilleuses lèvres ourlées et dodues commençaient à sétirer et perdre leur couleur rouge. Elles devenaient blanches, comme si tout le sang sy était échappé. Et puis, elle poussa un long cri, quelle essayait en vain d, déchargea longuement sur sa main et saffaissa de fatigue, dans le creux du lit.
Tout en continuant à la tirer en force, je regardais sa main qui continuait à aller et venir de plus en plus lentement dans sa chatte et qui expulsait toute la cyprine qui sy trouvait. Tout en pilonnant son cul avec de plus en plus de force, je lui pris la main et la portai à ma bouche, pour la lécher. Elle me regardait, émerveillée par ce que je faisais. Elle tendit les bras pour attr ma taille et me forçait à aller encore plus profondément dans son cul. Cétait merveilleux de la pilonner ainsi et de voir le plaisir quelle prenait. Je tins encore une minute et à mon tour je sentis lorgasme débouler en force. Jéjaculais dans le cul de Haoua tout le foutre que javais emmagasiné depuis la veille et que les furieux va-et-vient qui continuaient, expulsèrent vers lextérieur. Jétais fourbu et heureux ! Je maffalai sur ma partenaire en essayant de reprendre ma respiration.
Je pesais lourd, mais Haoua menlaça quand même très fort pour me dire tout son bonheur. Elle membrassa sur le cou et me dit :
- Je crois vraiment que tu es un Diable ! Attika me lavait dit, mais je ne lavais pas crue ! Je pensais que cétait son amour pour toi qui lui faisait dire que tu savais plus que personne lui donner du plaisir ! Et que même quand tu lui faisais mal, elle jouissait comme une folle ! Moi aussi jai joui comme une folle, alors que tu mas fait très mal ! Et que même maintenant je sens mon cul qui me brûle ! Je suis sûre que je ne pourrais pas masseoir pendant longtemps.
- Tu as aimé, cest lessentiel ! Je suis heureux que tu aies joui ! Je craignais que je narrive pas à te faire aimer la sodomisation !
Elle fatiguait sous le poids de mon corps. Elle fit le geste de me retourner pour se mettre sur moi. Elle ny arriva pas; jétais trop lourd pour le peu de force qui lui restait. Ce fut moi qui la retournai pour la poser sur mon corps et la serrer très fort. Je lembrassai tendrement, puis lui fit poser la tête au creux de mon épaule droite et me mis à lui caresser les cheveux et la nuque. Elle se mit à ronronner comme un chaton. Jattendis un petit moment pour lui raconter à loreille ce que javais fait la journée et la décision que javais prise de la présenter à ma mère, qui était daccord pour laccueillir chez elle. Elle releva la tête pour me regarder dans les yeux. Je vis dans les siens de la tristesse.
- Tu es déjà fatigué de moi ! Tu veux te débarrasser de moi !
- Mais non, au contraire ! Tu verras, ma mère est une femme délicieuse qui taimera beaucoup, si tu es gentille ! Elle maime beaucoup et ne peut rien me refuser. Elle va soccuper de toi comme si tu étais sa fille. Je lui ai raconté ton histoire et elle en a été bouleversée. Après-demain, elle revient de Kabylie et je pourrais tamener chez elle.
- Et pour nous ?
- Il ny aura rien de changé ! Nous nous verrons un peu moins souvent pendant une période ! Mais tu verras, je trouverais la solution pour que lon continue à nous aimer comme hier et comme aujourdhui !
- Elle sait pour nous ?
- Je ne lui ai bien sûr rien dit, mais cest une fine mouche ! Et me connaissant parfaitement, elle se doute certainement de quelque chose ! Elle na jamais fait de problèmes pour cela. La seule chose quelle me reproche, cest de ne mêtre pas marié et de ne pas lui avoir donné de petits s.
Le lendemain, nous continuâmes à nous aimer sans retenue. Ce ne fut que le surlendemain soir que je lamenai à El Harrach, chez maman, qui laccueillit très gentiment et qui lembrassa tendrement, comme si cétait déjà un membre de sa famille. Je les quittais tranquillisé quant à lavenir de Haoua, que je savais maintenant entre de bonnes mains.
Haoua shabitua très vite à vivre avec maman. Il faut dire que maman a toujours été quelquun de très facile à vivre. Elle nest pas exigeante envers les personnes qui lui sont proches. A nous, ses s moi-même et deux filles mariées et mères de familles elle nous avait toujours laissé vivre notre vie à la manière dont nous lentendions. La seule chose quelle avait toujours exigée de nous, cétait dassumer tous nos actes, bons ou mauvais. Avec Haoua, quelle avait aimée dès le premier jour, elle avait été encore plus cool.
Non seulement, elle lavait accueillie et prise en charge financièrement, mais en plus, elle lui permettait de sortir avec moi au moins une fois par semaine officiellement, pour lemmener en promenade et lui faire découvrir certains endroits dAlger réellement pour lemmener chez moi pour faire lamour. Elle nétait absolument pas dupe, mais laissait faire. Elle avait compris que je métais attaché à sa protégée et que je ne pouvais pratiquement plus me passer delle. Elle en était heureuse et la laissait sortir avec moi, sachant pertinemment ce que nous allions faire. Elle avait emmenée Haoua chez une gynécologue qui lui avait prescrit des pilules anticonceptionnelles. Maman savait quelle était amoureuse de moi, et quelle ne pouvait rien me refuser en matière de sexe. Mais elle ne voulait pas quelle tombe enceinte; pas pour le moment du moins.
Dun autre côté, elle avait toujours voulu que je me case et me marie. Cétait pour elle loccasion pour me pousser dans mes derniers retranchements. Elle avait découvert en Haoua, une belle-fille idéale: gentille, et surtout capable de seffacer si jamais je ne voulais plus delle. Elle nétait pas envahissante, comme certaines de mes maîtresses que je lui avais présentées et ne cherchait même pas à ce que je lépouse. Le seul fait dêtre avec moi lui suffisait pour quelle sente quelle est « ma femme ». Maman avait fini par avoir une confiance aveugle en elle. Surtout quelle lui racontait tout ce quelle faisait avec moi. Sans les détails, bien entendu !
Elle avait décidé que Haoua devait devenir, dans un délai raisonnable, économiquement indépendante. Cétait disait-elle, la seule chose qui lui donnerait confiance en elle et qui la libèrerait de tous liens de soumission envers moi et envers elle. Elle linscrivit en qualité dapprentie coiffeuse/esthéticienne chez une de ses amies, qui tenait un grand salon de coiffure au centre dAlger. En moins de deux ans, Haoua, qui avait des doigts de fée, devint une véritable spécialiste, surtout en esthétique du visage et des mains.
Elle avait été vite recrutée par lamie de maman, qui lui versait maintenant un petit salaire, qui lui permettait de se sentir plus à laise et moins dépendante de maman. Elle lui proposa de lui reverser toute sa paie pour participer aux frais de la maison. Ce que bien entendu, maman refusa, tout en lui ouvrant un carnet dépargne, pour quelle mette son argent à labri ; « pour les mauvais jours », disait-elle. Haoua sétait faite une excellente réputation auprès de la clientèle du salon et commençait même à percevoir des pourboires conséquents.
Toutes les week-ends, nous nous retrouvions et je lemmenais chez moi, pour faire lamour. Je découvris une autre Haoua, plus sûre delle et plus curieuse des choses de lamour. Je ne sais si cétaient les filles du salon qui lui parlaient des différentes positions et des différentes manières de faire lamour. Je découvris que pour elle, faire lamour, cest tout dabord soffrir à son homme pour lui donner un maximum de plaisir. Son plaisir à elle était secondaire, bien quelle avouait en prendre énormément. Je mis beaucoup de temps pour lui faire comprendre que la relation sexuelle entre deux amants était avant tout un échange, dont le but ultime devait être le bonheur des deux ; pas seulement de lhomme.
- Mais moi ce que je veux, cest que tu sois heureux toi dabord ! Que tu prennes autant de plaisir avec moi, quavec tes autres maîtresses, particulièrement Attika, qui te donne tout ce que tu désires ! Jaime que tu jouisses avec moi et que tu sois heureux ! Comme cela je suis sûre que tu me garderas ! Je taime comme une folle et je veux passer ma vie près de toi !
Même en cours de semaine, il nous arrivait de nous rencontrer, tôt le matin. Elle arrivait en retard au travail (avec la complicité de sa patronne, donc aussi, avec celle de maman !) et passait régulièrement une heure ou deux dans mes bras. Le plus souvent elle venait avec une idée de ce quelle voulait que je lui fasse. Cest comme cela par exemple quun matin elle était venue, décidée à me faire une fellation.
- Une fille du salon ma affirmé que tous les hommes aiment se faire sucer la bite par leur femme ou leur maîtresse. Toi tu ne mas jamais demandé cela ! Pourquoi ? Tu naimes pas ?
- Jadore ! Nous navons pas eu loccasion jusque là, cest tout !
- Tu veux que je te suce ? Tu veux mapprendre ? La copine ma dit que beaucoup de femmes avalent le sperme de leurs amants. Cest vrai ? Tu veux que je boive ton sperme ?
Merveilleuse Haoua qui était prête à tout, pour me donner du plaisir ! Ce jour là je métais dit que ce nétait pas une fellation que je voulais ; cétait prendre possession de toute sa bouche ! Je le lui dis. Elle ne comprit pas de suite ce que je voulais dire !
- Tes amies ne tont pas appris quil existe des hommes qui baisent leurs amantes par la bouche ? Comme si cétait leurs chattes ou leurs culs ? Et bien, ce matin je vais te tirer par la bouche !
- Tu vas me faire mal ?
- Ce sera surtout gênant ! Fais comme je te le dirais et tout se passera bien !
Elle venait darriver et était encore toute habillée. Je ne cherchai pas à la déshabiller; ni même à lui enlever la culotte. Je voulais quelle reste comme cela et quelle ouvre seulement sa bouche et quelle me loffre ! Je la fis mettre à genoux, lui demandai de bien ouvrir sa bouche pour accueillir mon membre, sortis ce dernier - qui frémissait dexcitation - de dessous le pantalon de pyjama que je portais et posai le gland entre les lèvres ouvertes.
- Prends-le dans ta main et fait le pénétrer le plus profondément que tu peux à lintérieur de ta bouche ! Attention à ne pas le mordre !
Elle fit ce que je lui demandais et fit pénétrer lengin jusquau niveau de sa gorge. Elle avait des difficultés à le pousser plus loin. Je lui pris la tête entre mes mains pour la bloquer et lui interdire de senfuir. Je fis revenir lengin jusquà lentrée de la bouche et donnai un léger coup de rein pour le refaire pénétrer au fond. Je fis faire à mon sexe trois allers-retours comme cela, sans forcer pour habi la bouche et la gorge de Haoua à la présence du gros manche. Je lui fis relever le visage pour voir lair quelle avait. Elle avait les yeux embués de larmes, mais tentait de résister à la douleur qui lui tenaillait la gorge et surtout, à lenvie de vomir.
Je me dis que le plus dur pour elle nétait pas encore arrivé. Je fis sortir le gland à quelques centimètres en dehors de sa bouche et le remis immédiatement à lintérieur dun mouvement plus fort des hanches. Il alla au-delà de la gorge, ce qui lui donna immédiatement envie de vomir. Je revins immédiatement à lextérieur de la bouche, pour repartir, une demi-seconde après, taquiner sa glotte. Je voyais ma mie souffrir : ses yeux pleuraient à grosses larmes ; son nez coulait abondamment et de la salive séchappait en grande quantité des commissures de ses lèvres. Le tableau était merveilleux, érotique et -presque- sadique !
Haoua souffrait en silence. Elle recevait cet immense engin qui allait de plus en plus franchement investir toute sa bouche et sa gorge. Des fois, elle narrivait pas à retenir lenvie de vomir; elle repoussait alors mes hanches avec force, pour avoir un instant de répit et crachait sur mon sexe toute la salive quelle avait en bouche. Je laissais passer une seconde pour quelle reprenne sa respiration et reprenais le va-et-vient implacable de mon sexe dans sa bouche et sa gorge. Cétait tellement bon (pour moi, bien évidemment) !
Je sentais que je nallais pas tarder à jouir dans cette bouche, si chaude et si accueillante. Jaccélérai le rythme de mes va-et-vient, sans plus tenir compte de la gêne et de la douleur que je produisais chez ma partenaire. Je voulais jouir ! Cétait tout ce qui comptait ! Et effectivement lorgasme qui arriva était superbe ! Très intense ! Il se nourrissait de la douleur de Haoua ! Jéjaculais plusieurs fois dans sa gorge et sa bouche ! Elle ne pouvait pas tout avaler ! Elle ne savait pas sy prendre ! Une grande partie ressortit à lextérieur, parce quelle le rejetait volontairement et parce quaussi il était expulsé par le va-et-vient de mon sexe qui continuait à bombarder sa bouche.
Je finis par sortit complètement de la cavité buccale et à finir déjaculer sur son visage et son cou en me masturbant devant les yeux étonnés de ma mie. Elle navait jamais vu un homme se branler ! Je me mis à genoux devant elle et la pris dans mes bras. Elle éloigna sa tête pour ne pas me salir avec le sperme quelle avait sur le visage et essaya de parler. Sa voix était toute éraillée à la suite de la forte pression de mon sexe sur sa gorge et ses cordes vocales.
- Tu mas vraiment fait mal ! Plus que quand tu mas dépucelée par devant et par derrière. Je ne comprends pas que des femmes puissent aimer cela ! Toi tu as beaucoup aimé ! Nest-ce pas ? Ne me dis surtout pas que jai autant souffert pour rien !
- Jai adoré et avec le temps, toi aussi tu adoreras ! Il faut seulement apprendre à tout contrôler ! Tu me pardonnes ?
- Evidemment que je te pardonnes !
Nous continuâmes à nous voir et à nous aimer régulièrement. Mais il nous manquait quelque chose dessentiel, pour que notre bonheur soit complet : passer nos nuits ensemble. Mais à chaque fois, il fallait que je la ramène chez maman. Nous avions la nostalgie des trois nuits que nous avions passé à nous aimer et à dormir dans les bras lun de lautre. Mais maman refusait obstinément de la laisser découcher.
Longtemps, je navais pas compris son entêtement et, un jour je le lui fis comprendre que cette nuit, je risquais de ne pas la ramener et quelle resterait passer la nuit chez moi. Javais prétexté de lemmener dans une soirée qui devait durer jusquau matin et quil valait peut-être mieux ne pas revenir chez elle à laube !
- Quelle que soit lheure, tu la ramènes ici ! Si tu veux quelle passe la nuit avec toi, tu nas quà lépouser !
Ni Haoua, ni moi ne nous attendions à cette sortie de maman. Moi jétais viscéralement opposé au mariage et Haoua qui connaissait mon aversion navait jamais eu le moindre espoir quun jour je puisse penser lépouser. Je venais de comprendre que maman sétait mise en tête de me marier et surtout de me faire épouser sa protégée. Ce jour là jen avais voulu à Haoua, laccusant presque dêtre à lorigine de la situation. Elle avait beau protester et pleurer, jétais resté de mauvaise humeur et parfaitement de mauvaise foi. Dailleurs, nous étions rentrés plus tôt que dhabitude et nous navions même pas fait lamour. Par ma faute ; parce quelle, elle avait tout fait pour mexciter et me redonner de lappétit pour son merveilleux corps.
En la déposant en larmes, devant la porte du bâtiment quhabitait maman, je ne mimaginais pas que je venais de faire le premier pas vers le mariage. Haoua raconta ce qui sétait passé à maman, qui mappela aussitôt pour mengueuler.
- Je ne veux plus que tu traites Haoua comme tu las fais aujourdhui ! Dune part parce quelle nest absolument pour rien dans le fait que je veuille que tu lépouses et dautre part parce que cest une fille bien, qui a eu bien des malheurs dans sa vie et que tu es entrain de détruire en la traitant comme tu las fait ! Dailleurs, je vais lui interdire de sortir avec toi, avant que tu ne lui demandes pardon !
- Quoi ? Lui demander pardon ! Et quoi encore ! répondis-je, dépité par la tournure que prenaient les choses.
Elle raccrocha, sans même répondre. Jétais hors de moi ! Quoi, une fille qui me devait tout et qui osait se comporter comme cela ! Jétais bien entendu, de mauvaise foi ! Au fond de moi, je savais pertinemment quelle nétait absolument pour rien dans la position quavait prise maman. Haoua, je le savais, était très heureuse de vivre les moments quelle vivait avec moi; sans prétendre aucunement à un autre statut. Elle voulait sa part de bonheur dans la vie. Et cétait tout !
Connaissant le caractère entier et la volonté de maman, je savais que tant que je naurais pas fléchi, je ne reverrais pas Haoua. Cette seule pensée me faisait flipper. Cela faisait uniquement deux jours que je ne la voyais pas et, déjà, elle me manquait ! Elle me manquait physiquement et elle me manquait même moralement. Je venais de me rendre compte quelle métait devenue indispensable. Que javais besoin delle auprès de moi. Jessayais de lui téléphoner, mais à chaque fois je tombais sur maman (elle lui avait confisqué son téléphone) qui me raccrochait au nez.
Jallais lui rendre visite au salon dans lequel elle travaillait, mais la patronne (certainement instruite par maman) me fit savoir que Haoua avait pris un congé dun mois. Jétais désemparé. Jessayais de me consoler dans les bras de Attika, qui semploya, sans résultat, à chasser Haoua de ma tête. Je crois même que jai été odieux avec elle : elle me dit par la suite que je lavais traitée pire quune pute, avec brutalité et condescendance. Ce fut dailleurs elle, la deuxième fois quelle voulut me donner du plaisir, et quelle avait encore une fois fait fiasco, qui me dit :
- Mon pauvre Ali, tu es complètement dingue de cette fille ! Quattends-tu pour aller la retrouver et lui demander sa main ? Ta maman a gagné et la bataille et la guerre ! Dailleurs cest une excellente chose ! Tu ne trouveras jamais mieux que cette fille ! Même pour moi, ce sera une excellente chose ! Je pense quelle acceptera que je continue dêtre ta seconde « femme », rien que parce quelle taime et quelle ne cherche que ton bonheur. Son bonheur à elle, cest avant tout que toi, tu sois heureux ! Alors si tu veux écouter les bons conseils de Attika, vas vite la récupérer. Tout le monde y trouvera son compte : toi, Haoua, ta maman et
moi !
Et cest comme cela que le soir même, un bouquet de fleurs à la main (une honte pour moi !) je partis, tête basse, demander la main de Haoua
à ma mère ! Et demain, nous serons mariés !
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